Dès nos premières séances en studio avec Olivier, une complicité authentique s'est rapidement installée. La voix-off Olivier PERROT transcende son simple rôle pour devenir un pilier essentiel au sein de notre équipe, une présence rassurante qui illumine chaque session d'enregistrement.
Comment décrire cette voix extraordinaire ? Elle évoque la chaleur d'un foyer, la douceur d'une caresse et la virilité d'un homme accompli. En effet, la voix-off Olivier Perrot incarne la quintessence de la masculinité ! Son timbre profond et enveloppant, sa capacité à exprimer subtilement les émotions et sa force tranquille en font un choix de prédilection pour une multitude de projets, allant des annonces raffinées aux campagnes percutantes en faveur des grandes causes.
Reconnu pour sa polyvalence exceptionnelle, la voix off d’Olivier PERROT est plébiscitée pour son engagement dans des signatures élégantes (Galette, Sharp, Canon, Velours noir), son soutien passionné à des causes humanitaires (ARC, Médecins Sans Frontières, Sécurité Routière), son implication captivante dans des documentaires inspirants, ainsi que son énergie dynamique dans les publicités percutantes (BNP, DUPONT) et les bandes annonces envoûtantes (Warner Bros). Sa capacité à s'adapter avec aisance à une variété de styles et de tonalités garantit de captiver et d'émouvoir le public à chaque performance.
Mais ce qui distingue véritablement la voix-off Olivier PERROT, c'est son audace à explorer de nouveaux horizons. Sa récente contribution à un documentaire sur un tueur en série, où il a prêté sa voix avec justesse et profondeur, en est un exemple frappant. Cette capacité à se glisser avec aisance dans des rôles divers et à se plonger dans des univers sombres démontre sa versatilité et son dévouement envers son métier.
Originaire de Suisse, la voix off d’Olivier PERROT est réputée pour sa fiabilité inébranlable et sa ponctualité exemplaire. Toujours professionnel, il est apprécié de ses pairs pour sa rigueur et son sérieux dans son travail.
Au-delà de son talent vocal exceptionnel, Olivier PERROT apporte une expérience du chant, une générosité sans faille, une disponibilité sans égale et une écoute attentive du client à chaque projet. Son engagement envers l'excellence et la diversité se manifeste à travers chaque enregistrement, ajoutant une touche personnelle et chaleureuse qui le distingue comme l'une des voix les plus appréciées de notre industrie.
Pour plonger dans l'univers chanté de l'artiste, nous vous invitons à explorer son sublime opus « C’est la vie ». Cet album se compose de onze morceaux émouvants, véritables odes à l'amour sous toutes ses formes : l'amour naissant, l'amour évanoui, et même l'amour inatteignable. Chaque chanson, délicate et intense, vous fera ressentir toute la palette des émotions amoureuses.
En conclusion, la voix-off Olivier PERROT incarne bien plus qu'un simple talent vocal. Il représente l'excellence, la polyvalence et l'humanité dans son métier, apportant une dimension unique à chaque projet qu'il entreprend.
Salut, je sors d’une séance de billboards Jean Louis David pour la météo de TF1. Et me voilà chez vous pour la voix off d'un spot pour la Warner !
Absolument ! J’aime la liberté, l’autonomie, le côté nomade qu’il me procure. Ce que j’aime surtout, c’est qu’au fil des séances, on croise des gens différents, comme ça, ponctuellement. Il n’y a pas de routine. Nos relations aux autres gardent une vraie fraicheur. On travaille ensemble. On fait un spot, un film… on se quitte contents et on se retrouve plus tard heureux de se revoir pour une nouvelle aventure. Une autre chose que j’aime bien aussi c’est l’idée d’arriver en fin de la chaîne, comme un dernier coup de maquillage, d’être « la cerise sur le gâteau » ! Il faut bien l’avouer c’est très valorisant ! C’est un métier de rêve pour nous autres comédiens : on est dans une énergie positive, on est désiré. On nous appelle avec le sourire pour nous annoncer « qu’on est choisi, qu'on sera la voix ». Les clients sont parfois limite flattés de nous rencontrer, c’est super agréable. Bon, ça colle aussi un peu la pression ! Après tout ça, il faut assurer et ne pas décevoir !
Tu es challengé tout le temps et tu construis demain chaque jour séance après séance.
Il faut être bon à chaque séance puisque tu as affaire presque à chaque fois à des gens différents.
Heureusement, il y a les prods, comme SONACOM, qui sont des alliées. Vous savez où je peux aller et vous savez m’emmener là où je pense ne pas pouvoir aller. Vous nous emmenez plus loin. Et à chaque séance, vous remettez tout en jeu aussi pour sortir le meilleur des comédiens et de vous même.
C’est précieux pour les comédiens comme pour les clients !
Nous avons les mêmes challenges et la même conscience que le produit qu’on réalise va être tellement exposé, entendu que l’on n’a pas le droit à l’erreur.
En ce qui me concerne, je crois que la seule chose c’est « les posages d’options ». Ce sont un peu nos castings à nous « les comédiens voix ». On t’appelle pour prendre tes dispos et tu attends… Je pense que quelque soit ta notoriété, c’est un moment qui pique un peu. En tout cas pour moi ! Mais c’est une des composantes de ce métier. C’est le jeu ! Et c’est aussi ce qui en fait l’intensité.
Par la musique. En 1981 (et oui) j’ai auto-produit mon premier album. Comme ça a plutôt marché, ça m’a amené à faire pas mal de promo radio.
J’ai écumé les radios libres jusqu’à une interview sur Radio Contact (la plus grosse radio de l’époque). Après l’interview, la responsable de la radio est venue me voir et m’as dit en gros « avec la voix que tu as, je ne peux pas te laisser partir ».
J’ai accepté et j’ai enchainé 2 ans de matinales !
Là aussi j’étais assez exposé et entendu ! Du coup Philippe, qui travaillait avec André Manoukian au Studio des Producteurs, m’a proposé de faire des voix off.
J’ai commencé comme ça, à faire des pubs avec Liane Foly.
Au bout d’un moment, j’en faisais tellement qu’ils m’ont proposé de d’intégrer leur structure. C’était top. Le jour, on faisait des voix off, la nuit on travaillait sur nos albums.
Et puis elle a signé chez Virgin, et moi chez Polygram. En 1989, on est monté à Paris et on a continué. Bon elle a vite arrêté ! Moi… j’ai continué ! Pubs, Doc, Instits…
C’est moins vrai chez moi que chez d’autres !
La diversité liée aux métiers lui même me comble. On rencontre rarement les mêmes clients. Et si c’est le cas, c’est très rarement pour le même produit. Donc c’est super vivant et enrichissant.
Non pas vraiment… J’ai l’impression d’être juste au bon endroit.
En revanche, creuser ce que je fais aujourd’hui : oui ! Tous les jours. Et puis, je me remets sérieusement à la musique.
Je prépare un album avec Pierre Jacquot qui a été mon premier producteur il y a 30 ans. A force de m’entendre, il a finit par me rappeler !